» DOWNFALL

Ressentez avec intensité la morsure de l'hiver et le craquement des feuilles mortes... Après trois démos, enfin l'album tant attendu. Neuf titres au son limpide, où s'entremêlent guitares acoustiques, percussions, voix profondes et violoncelle passionnant. Dark-Folk stupéfiant !

Feel the intensity of cold winter and the crakle of dead leaves that have already faded... After recording three demos, finally, the long awaited first full length album. Nine tracks with crystal clear sound, accoustic guitars perfumed with percussions, deep vocals and exciting cello... Amazing Dark-Folk !

DOWNFALL dans Carnets Noirs (Acte II) un recueil de 400 pages sur la scène francophone...

Une quinzaine de nouveaux morceaux sont en chantier...

Les concerts :
. première partie de Kat Onoma au Bikini, Toulouse, 8 mai 2001
. Urizen Festival avec Glaisiig & Autumnal à l'Alien Club, Madrid, 15 juillet 2000
. concert/expo « auto-célébration posthume » de la revue Rose Noire au Musée des Chartrons, Bordeaux, 16 janvier 2000
. le Son de L'Innocence, Montauban, 26 novembre 1999
. première partie de Apoptygma Berserk au Poste à Galène, Marseille, 23 octobre 1999
. finale des Sélections du Printemps de Bourges Midi-Pyrénées 1998, Albi, 21 novembre 1997
. première partie de Elysian Fields au Bikini, Toulouse, 12 avril 1997
. nos premiers concerts en Midi-Pyrénées (Toulouse, Cahors, Figeac...) avec Punish Yourself, Trudenhaus, Erbium, Lost, Belly Button, 689 Eyes...







Interviews dans MALDOROR (Canto XIII, Espagne), ELEGY (n°15, avril/mai 2001, + titre sur le CD sampleur), MARBLE MOON (n°16, aprile 2001, Italie), AURA ZINE (Espagne), SEKÜENCIAS DE CULTO (n°11, Espagne) et très bientôt pour Absentia Prod (Japon)...

Issu de la mouvance gothic metal, DOWNFALL s'aventure aujourd'hui dans des brumes musicales originales, teintées de diverses couleurs, ce notamment grâce au violoncelle et aux percussions. Un style qui n'en demeure pas moins gothic et donc sombre par des guitares acoustiques et des parties vocales plus que mélancoliques, à la croisée du dark-folk et de la musique traditionnelle...

(réédition du 1er album prévue sur Mono-Emotional Records avec 4 titres bonus)

chroniques

http://www.cynfeirdd.com
An English name for a French dark folk band singing in German and signed on a Spanish label, now if that's not Europe? In any case, we find here all the ingredients of good dark folk, acoustic guitar, percussions, and a campfire atmosphere. Worth listening to, if only for "Der Anfang vom Ende", a pearl of the genre.

http://www.equilibriummusic.com
Although they come from France, Downfall make use of German vocals in their Dark Folk recipe, which offers also acoustic guitars and passionate cello arrangements. An interesting discovery, no doubt.

http://www.ladefuncion.com :
Nos encontramos con la primera entrega del sello bilbaíno, DRAMA & SIN COMPANY, la verdad es que han encontrado un buen grupo para empezar la carrera como distribuidora. Se han fijado en los franceses Downfall, un grupo desconocido en España, pero que seguro que con este su primer trabajo empezaran a tener fama en nuestro país. Practican un Dark Folk con una marcada influencia alemana, aunque por muy raro que parezca, no están rodeados de runas, simbología nazi o nada que se le parezca, sencillamente dark folk de carácter oscuro, melancólico y triste. La voz masculina de Stéphane Vanstaen, cantando en el idioma germano, siempre se muestra pausada, serena, triste y con un tono bastante grave. A la guitarra de Christèle Gaye y a la percusión de David Persoglia se le une quizás el instrumento que le da un toque especial al grupo, sonidos producidos por el chelo de Antoine Bécot. Destacar un tema en concreto es muy difícil ya que el disco es muy homogéneo en su globalidad, llegando en algunos momentos a la monotonía. Hecho que no estropea el disco ya que en general nos encontramos con un buen trabajo. Para terminar recomendarte el disco, ya que además su precio es muy asequible, puedes pedirlo en www.dramaandsincompany.com o en cualquier tienda especializada.

http://www.ecclipse.net :
Il est de ces albums, de ces morceaux, de ces bouts d’instants musicaux qui vous emportent loin dans une contrée inconnue, vide de tous êtres et de toutes particules. Un endroit où seul règne ce que vous êtes entrain d’écouter à cet instant. DOWNFALL. Un méandre acoustique et vocal. Une ballade au milieu d’un désert. Ici, il n’est point question de sonorités bruyantes ou de contenu fracassant. Vous êtes en proie avec une mélodie. Une mélodie faite de guitare acoustique, de violoncelle et de percussions. Et une voix. Une voix qui sait vous transporter « ailleurs ». Une voix omniprésente, prête à surgir à chaque coin de sonorité. Cela peut partir d’un murmure en terminant par un hymne. Au fur et à mesure qu’on avance dans ce dédale de percussions et de résonance, on en veut encore, et encore plus. On espère, on prie pour qu’à chaque fin de morceau, il n’y ait pas de fin, qu’à chaque interstice de timbre, il y ait un comble. Et on se perd à nouveau en se laissant porter par les flots de la prochaine piste. DOWNFALL est constitué de 4 membres : Christèle Gaye à la guitare, Antoine Bécot au violoncelle, David Persoglia aux percussions et Stéphane Vanstaen à la guitare et au chant. Ce dernier est l’auteur et le compositeur du quatuor. Une grande place est faite pour les percussions et la guitare, et le chant, qui est allemand, n’est pas en reste avec le violoncelle. En somme, on a un quatuor qui est complémentaire, rien ne va sans l’autre, rien ne peut être dissociable. Une mixité et un mélange absolu pour donner au final ce premier album hyper prometteur pour le combo après leur 3 premières démos. Les puritains du métal pourraient trouver en DOWNFALL un bon compromis placide dans leurs morceaux. Une sorte de paix intérieure en accordant 46 minutes de leur temps pour prêter l’oreille à ce magnifique album, faits de tranquillité et de sérénité. Je ne mettrai aucune note, aucun avis personnel pour cet album, car je vous invite tout simplement à vous le procurer le plus rapidement possible, afin que vous aussi vous ressentiez ce petit pincement, aussi palpitant soit-il, cette petite note musicale dans cet organe qu’on appelle sommairement le cœur. Il y aurait tant de choses et de mots à dire encore pour essayer de vous faire comprendre ce que je ressens à écouter Downfall, mais je crois que ce serait chose vaine de vous faire part d'une émotion qui est propre à chacun. Car croyez-moi qu’en écoutant ce skeud, je ne suis pas reparti sans y laisser quelques flammes, au grand bonheur de mon fort intérieur. Pour toi, Stef. (Yann)

Seküencias De Culto (n°11) :
No hay muchas formaciones en la actualidad que suenen como DOWNFALL; aunque son relativamente evidentes sus inclinaciones musicales, la fundicion de elementos que realizan es muy interesante consiguiendo como resultado un estilo bastante propio, y sin poder vincularse a verdientes demasiado definidas. Todo eso me parece llamativo. Ademas, sin mucho ruido han logrado un disco muy atractivo. Esta banda francesca que canta en aleman y edita en un sello espanol, tiene a Stéphane Vanstaen como su maximo responsable, primero en las letras en dicha lengua, que definen bastante el estilo des grupo, anadiendo esa forma de cantar seria y sobria, que parece luego profundizar aun mas en la delicadeza e intento de perfeccion que proyectan a traves de la instrumentacion. Simplemente con un par de guitarras acusticas, un chelo, y una percusion sin grandes alardes, consiguen piezas enormemente expresivas. Todo se basa en el lento desarrollo de las guitarras, para las que tratan de conseguir distintas formas en cada tema, mientras el bello instrumentode cuerda arranca los estados de animo mas diversos y las propuestas mas sentidas. Las percusiones son breves, secos golpes que abren mucho mas el abismo expresivo iniciado por el resto de la instrumentacion. Se compone el album de nueve piezas entre las que yo destacaria como las mas agraciadas a "Mein Inneres Chaos", con su templanza decorada por el bello chelo, "Ohne Ausweg", en la que de nuevo el referido instrumento de cuerda vuelve a darnos muestas de su intenso proceder que desemboca en cada nota, principalmente en esa especie de estribillo instrumental que se marca con distincion, mientras, el talante de la voz se vuelve menos tosco por momentos, tejiendo las guitarras la red perfecta que sostiene y lidera la composicion. "Wie ein Krieg in mir" es ostro de los temas mas completos y uno de los referntes basicos del estilo peculiar que han alcanzado. Pero donde logran, bajo mi proprio criterio, una de sus mas elevadas cumbres, es en la brillante "Mein Schmerz"; en ella los instrumentos se vuelven mas agiles, y con cierta templanza se alcanza el cenit del album; nuevamente el chelo tiene una intervencion decorosa que se alarga por toda la pieza, ante la expresividad sentida en la voz y la soltura de las guitarras, los golpes de percusion parecen mas adecuados que nunca. La mas ligada al termino dark folk es la destacada "Der Tod der Menschen", moldeando, nuevamente esa referencia musical y llevandola a su propio terreno. Otra de la mas bellas perlas la encontramos en "Drama"; la seca dulzura del idioma interviene en el cuidado toque acustico mientras la melodia de fondo vuelve a intervenir de forma tragica, los golpes sordos resuenan favoreciendo la intensidad generica que la misma pieza transmite. El broche final da titulo al album, "mi propria autodestuccion", nuevamente realizando un cuadro donde cierta desesperanza, grises imagines y paisajes desolados abundan, repletos de inusitada belleza destilada por las formas de la cuerdas. Un trabajo que puede parcecer lineal en las primera escuchas y en que uno debe profundizar y sumergirse lentamente, pues te va atrapando poco a poco, hasta apreciar cada una de las nueve composiciones que incluye. Espero que un nuevo album no se haga esperar demasiado, para poder comprobar cuanto antes que ciertamente tienen una marcada capacidad para seguir ahondando en su estilo y ofreciendo cosas que se alejan de sus proprias influencias, como han hecho en esta su primera referencia. (F. Paco Gonzales)

Lefantastique.net/L'Ame Electrique ver. 2.0 :
Techniquement impeccable, délicat et sombre, l'opus des DOWNFALL - dont on commence à beaucoup entendre parler, à juste titre - peut être considéré comme une très bonne pièce de Dark-folk. Elle en présente, par ailleurs, tous les atours: instruments variés et bien entendu acoustiques (l'inévitable guitare-folk, mais aussi un violoncelle et des percussions qui font... on ne peut plus folklorique), voix sombre et déclamative (en allemand, s'il vous plaît)... Les compositions sont limpides et rappellent un peu Sol Invictus ou Current 93 pour cette sombre alchimie : guitare (très) sèche / voix. A certains moments, le jeu de guitare rappelle l'excellent "Loved" des Cranes ("Das Gift") mais sans le côté pétillant. Non, les compositions de DOWNFALL ne vous feront pas monter sur la table dans une soirée entre potes (sauf si elle est vraiment trop arrosée ou que vous avez décidé de vous faire remarquer), mais s'offriront davantage à une méditation ou à un travail solitaire, à la dégustation d'un alcool précieux à la faveur d'une nuit étoilée... Ecoutez pour vous en convaincre "Mein schmerz" ou "Das gift". (John Cultiaux)

www.magicbox.fr.fm :
Rammstein "Mutter" / DOWNFALL "Mein Selbstzerstörung" (Le Rock Allemand dans le Texte). Quel rapport entre DOWNFALL, groupe gothique toulousain et Rammstein, groupe métal allemand, aucun. Enfin, si ! la langue et l'arrivée d'un album. 3eme album studio pour Rammstein. Découvert sur la BO de Lost Highway (David Lynch), le groupe a su en deux album briser les frontières et les tabous, par un savant mélange de métal-gothique-indus et par un jeu de la provocation, tout droit tiré des jeux de scène de Marilyn Manson. Du dernier album, Richard Kruspe-bernstein, guitariste-compositeur du groupe, dit : « c'est le résultat d'une logique évolution ». « un album plus mûr ». Mutter utilise, sans nul doute, les recettes qui ont fait le succes des précédents CDs. Mais là où le groupe avait adjoint sur Sehnsucht leur découverte de l'ordinateur et le l'électronique, Mutter bénéficie d'un retour aux instruments bruyant traditionnels, aux rythmes pesants. Les paroles sont aussi moins tendancieuses : elles refletent plutôt une certaine couleur dans une lumière tout de même infernale et aveuglante : Feuer Frei. Veuillez excuser les Petits dérangements sur la scène toulousaine : DOWNFALL est depuis quelque temps dans la cité, mais loin de mettre le feu, il a plutôt tendance à l'éteindre, à se contenter de quelques cierges et de l'encens pour mettre l'ambiance. Celle-ci est à son apogée, une fois les ampli branchés et la voix de Stephane dévoilée. En effet, ce groupe toulousain prend les fans de Zebda à contre-pied en proposant un rock gothique subtile et émouvant, dans la langue de Goeth. Goeth, Goth : c'était pourtant évident... Le groupe utilise le champ lexical sombre des Nick Cave, Dead Can Dance, Rammstein mais dans un style rock métal lancinent bien à eux, grâce à une composition de groupe original pour le style (guitare, violoncelle, percu). En allemand, ca donne der Anfang vom Ende ou Mein innerer Chaos... A découvrir sur Autumn Prods leur label...

Elegy n°15 (avril/mai 2001) :
Feuilles mortes et vent glacial. Attrapez vos gants et ajustez la capuche de votre cape de velours, le violoncelle et les chants profonds de DOWNFALL vont vous accompagner dans vos promenades hivernales. Issu du sud de la France, DOWNFALL est un concentré de mélancolie et de beauté. Leur dark-folk entêtante enfante une froide et douce tristesse.

Elegy n°14 (février/mars 2001) :
Le premier album de DOWNFALL, « Meine Selbstzerstörung », est disponible chez Autumn Productions... Vous découvrirez sur cet opus de neuf titres un dark-Folk d'une qualité exceptionnelle. Place au violoncelle et aux chants profonds. Un régal !

O3 n°4 (janvier 2001) :
Après la merveilleuse démo « Der Anfang Vom Ende », le groupe sort enfin son premier album. Qui suit la voie de la démo sus-citée, en en reprenant les morceaux d'ailleurs. Autant dire que la qualité des compositions n'est plus à prouver. Et à l'instar de leur comparses de MODERN FUNERAL ART, DOWNFALL rassemble les défauts de ses qualités. Autant le groupe impose son style particulier et surprend agréablement par sa forte personnalité, autant cette dernière, car justement forte, peut rebuter l'auditeur. D'une austérité profonde, la musique de DOWNFALL prend source dans les méandres impurs de l'âme. la cabale s'annonce vaste et rude, à l'imagedes compositions de ce « Meine Selbstzerstörung » positivement déprimant. (Keufran)

Follower n°12 (novembre 2000) :
DOWNFALL propose aux âmes dépressives une musique dark-folk qui se situe entre Ulver et Sol Invictus. Véritables hymnes aux forêts enneigées, leur mélodies nordiques et désenchantées sont à écouter en solitaire. Les guitares sèches sont entraînantes, les percussions lourdes, le violoncelle lancinant et le chant scandé en allemand profond et tourmenté. On est évidemment loin du génie d'un Sol Invictus ou d'un Fire & Ice mais leur musique tout de même riche en émotions froides et mortuaires vaut largement le détour. En attendant la suite...

Maldoror n°12 :
Una de las referencias mas interesantes del recien nacido sello bilbaino Drama & Sin son estos franceses que se hacen llamar DOWNFALL. Dark folk de entramado profundamente germanico, melodico y adusto a un mismo tiempo. la voz masculina siempre es siempre grave, arrogante y de energia contenida, matices que se agravan por la pronunciacion teutona. No obstante no tiene el tinte heroico que pudiera tener Blood Axis o Strength Through Joy, pero su concepto dista mucho de la dulzura. Hay dolor y melancolia, dibujados por el arco de un chelo, y tambien solemnidad con una percusion sencilla y austera. Las guitarras siempre quedan atras sobrenadando en ellas las melodias y pasajes vocales. resultado de esta combinacion es un trabajo serio, hermoso y ademas diferente, adjetivo este ultimo bastante dificilcde aplicar a un estilo como el dark folk tan rigido por seguir demasiado las pautas de las bandas legendarias de esta corriente. Un Cd excelente. (Pedro Ortega)

Bnfm:99! (newsletter 2) :
Mentalité européenne, pour une dark-folk qui s'en trouve tout imprégnée. En effet, DOWNFALL sont français, chantent en allemand et sont signés sur un label espagnol. Et si l'usage de la guitare acoustique est aujourd'hui essentiel (par rapport à des débuts plus orientés vers la scène métal) on est loin des ambiances méditérranéennes ! Le climat est glacial, très sombre, emmené par un chant grave et des atmosphères lourdes. Et si cet album pêche quelque peu d'un manque de diversité (notamment d'un point de vue vocal), les amateurs de Tony Wakefold (Sol Invictus) ne devraient pas s'y tromper : « Meine Selbstzerstörung » est un premier essai bourré d'espoir, à l'image de « Das Gift » ou « Der Tod der Menschen » (Olivier Monin 6,5)

Prikosnovenie (catalogue printemps/été 2000) :
Guitare folk, une grosse voix en allemand, violoncelle et percussions qui me rappellent le grand et bel « In Out » de Clair Obscur, et voilà la scène dressée. DOWNFALL fait du Death In June existentialiste. L'album nous transporte dans des états de noirceur intérieure : neurasthénie, ennui, choas intérieur... Et c'est tout simplement jubilatoire !!!

Elegy n°9 (mars/avril 2000) :
DOWNFALL nous promène au sein d'une nature boisée et automnale, au gré d'une froide bise de guitares acoustiques et de percussions enrichies par l'omni présence d'un violoncelle. Le tout est peut-être un peu trop monotone mais est suffisamment émotionnel pour convaincre. (Yannick Blay)

Metal Hammer n°148 (mars 2000) :
La compañia de Bilbao The Drama & Sin lanza este album de dark folk cantado en aleman, aunque la banda sea francesa, mezcladoen el Hell On Earth studio (en un paramo de la vecina Francia), con nueve temas de un sonido cristalino, con guitarras acusticas, percusion, voces profundas yn arreglos de instrumentos de cuerda como el cello. Anteriormente grabaron tres demos, la primera muy gothic metal y las dos secondas mas oscuras. DOWNFALL son Christele Gaye guitarra, Stephane Vanstaen guitarra y voz solista, Antoine Becot cello, David Persoglia, percusiones. El trabajo de Antuan Becot en fragmentos como « Ohne Ausweg » recuerda al solian utilizar Van Der Graaf (la antigua banda de Peter hammill) en albunes como el directo « vital ». Sin embargo el grupo tambien esta influenciado por sonidos Bathory, Das Ich, Arcturus o Type O Negative aunque siempre plasmados a traves de su faceta mas acustica, caso de « Das Gift » o « Der Tod der Menschen ». La guitarra de Stephane es unica en el mundo y posee siete cuerdas, seis normales y una de afinacion mas grave que actua casi de bajo en cortes como « Meine Selbstzerstörung ». Un album ciertamente original. (Joan Singla)

Silence Means Death n°7 (septembre 98) :
Groupe issu du gothic/métal, DOWNFALL avec sa troisième démo a évolué vers un dark-folk où les guitares acoustiques accompagnent les mélodies d'un violoncelle. La voix gutturale et les textes en allemand rendent l'ensemble encore plus mélancolique et sombre. Pour les jours difficiles... (Fred Grand)

O3 n°1 (été 1999) :
La musique de DOWNFALL, bien que sombre, n'en est pas moins terriblement humaine. Loin des aspirations suicidaires que certaines formations tissent pour faire valoir leur petit commerce, DOWNFALL reste ouvert au monde. Cette démo acoustique, résolument gothique, possède plus d'un atout dans sa besace, à commencer par ce violoncelle qui cloue l'auditeur et force d'entrée le respect. Aucune sonorité metal pour cette démo aussi légère qu'entêtante, utilisant de fort belle manière le didjéridoo ou encore le bâton de pluie. Je ne saurais vous en dire la raison, mais « Der Anfang vom Ende » me met le beaume au coeur à chaque écoute. Et la violence de cette musique, même si elle n'apparaît qu'avec beaucoup de finesse, me fait dire que bon nombre de groupes soit-disant metal feraient bien de s'interroger sur leur musique avant de foncer tête baissée, les cheveux dans le manche. C'est con à dire, mais la musique de DOWNFALL est belle. La démo parfaite par excellence. (Frank Diener)

http://www.naomediga.com (Issue #22) :
DOWNFALL "der anfang vom ende" (demo 1998/France) : This gothic band from Toulouse, France sings in German! I am not familiar enough with all the bands in the gothic genre to name any possible influences, but I certainly hear some Dead Can Dance qualities in the way Downfall arranges the music. Cellist Antoine Becot gives all the songs a haunting dark mood. There is no bass used, except in the tonality of Stephane Vanstaen's baritone. One song "mein schmerz" even makes use of a digiridoo.

Tow n°9 :
Ce titre de DOWNFALL figure sur la compil des groupes finalistes du Printemps de Bourges de la région Midi-Pyrénées ! Pour un groupe dark-folk, avouez que c'est plutôt étonnant. Surtout parmi la faune daubeuse du reste du Cd. Dire que dans cette région tant de groupes travaillent... Bon, DOWNFALL relève le niveau, sa musique est décidemment très belle, sensible, et le violoncelle y est pour beaucoup. La voix, ici en allemand, est linéaire et envoûtante, un régal. DOWNFALL mériterait vraiment qu'un label publie ses travaux. (JL)